Résumé :
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Premier roman irakien jamais traduit en français, les Voix de l'Aube s'est imposé dès sa parution comme l'un des textes les plus importants de cette nouvelle littérature arabe qui, née dans les années cinquante, se montrait décidée à s'écarter de la voie tracé par les grands maîtres du passé pour entrer ans la modernité.
Par le thème, par le climat qui baigne l'œuvre, il s'agit ici de l'Irak traditionnel ou plus précisément, au cœur de sa capitale Bagdad, d'une demeure à l'intérieur de laquelle se joue, comme dans la tragédie classique, la quasi totalité du roman. La maison, à l'image des habitations de ce pays, est tout entière repliée sur elle-même, symbole de la famille et de l'enfermement, lieu des rencontres et des secrets...
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